Par MES
Ces deux ouvrages ont en commun d’avoir été écrits à peu près à la même époque, par des auteurs européens appartenant à la même société bourgeoise, aisée, cultivée et voyageuse, d’exploiter des thèmes identiques et d’être l’un et l’autre des œuvres d’imagination, sans élément autobiographique. Leur parenté est si forte que l’on pourrait croire à une « contagion » comme cela se produit parfois dans les milieux littéraires et scientifiques. Il est d’autant plus curieux de constater qu’ils sont rarement mis en parallèle.