Please enable JS

Compte rendu du club de lectures partagées du samedi 16 mars 2019 "Grands animaux et hommes: amour et rivalité"

Compte rendu du club de lectures partagées du samedi 16 mars 2019 "Grands animaux et hommes: amour et rivalité"

mars 13/pascale/Rencontre

Source images Pinterest

 

Un club de lectures partagées autour du thème : Les grands animaux et les hommes: amour et rivalité vous a été proposé samedi 16 mars de14h00 à 16h45 à Saint-Auban dans la salle du Conseil de la Mairie - à côté de la bibliothèque...

Pour des idées lecture, vous n'aviez qu'à consulter l'onglet bibliographie sur le thème proposé en cliquant ici.

L’Âne Culotte d’Henri BOSCO -  présenté par N.G.

Henri Bosco né à Avignon en 1888 et décédé à Nice en 1976. L’âne culotte est un roman  édité en1937. Il s'agit du premier volume du triptyque de Hyacinthe, suivi de Hyacinthe et du Jardin de Hyacinthe.

L’histoire se passe dans un petit village provençal nommé Peïrouré, Constantin GLORIO, âgé de douze ans, habite chez ses grands-parents Saturnin et Saturnine dans un petit mas. Avec eux, vivaient un berger Anselme, Claudia, la vieille servante, ainsi qu’une petite orpheline Hyacinthe recueillie par les grands-parents et qui donnait un coup de main dans les tâches ménagères à Claudia, dite la Péguinotte. Au centre du village l’église et son curé, l’abbé Chichambre, mais depuis quelque temps dans ce village tranquille, se déroulait une drôle d’aventure. Un âne arpentait les rues, allant seul à l’épicerie faire les emplettes pour son maitre M. Cyprien, que personne ne connaissait, car il ne venait jamais au village. Mais cet âne apprivoisé, à qui il ne manquait que la parole, avait une autre particularité, l’hiver, son arrière-train était affublé d’un pantalon, il était la risée des gamins, tous éclataient de rire et l’appelaient Culotte, Culotte, en l’accompagnant jusqu’à la chapelle, puis les gamins rentraient chez eux. Un soir, Constantin intrigué par cet âne voulut savoir où l’âne se dirigeait, il le suivit de loin, et le vit franchir le pont de la Gayolle. Il le perdit de vue dans le bois de chênes. Ce soir-là Constantin rentra tard et tomba sur la Péguinotte qui le gronda. Il lui raconta qu’il avait suivi l’âne avec ses copains jusqu’à la chapelle, elle lui interdit de le regarder et de le suivre sans aucune raison ce qui suscita encore plus sa curiosité.

A l’école, tous les gamins voulaient le suivre. Un d’entre eux qui sait que l’âne Culotte appartient à M. Cyprien, leur explique qu’il habite tout en haut d’une colline et qu’il y a vu un grand chien, plein d’animaux, des oiseaux, des lapins, des tas ! Il leur déconseilla d’y aller car il y avait laissé sa culotte .... Toutes ces recommandations ne font que renforcer la curiosité de Constantin et la volonté de se rendre sur la colline. Dans la semaine précédant les Rameaux, il finit par céder à la tentation. Il monte avec l’âne vers la maison de la colline et fait la connaissance de Cyprien qui à la fois, l’attire et l’effraie. L’homme ne le fait pas rentrer dans sa maison, mais l’emmène au verger. Constantin fut émerveillé par ce lieu. Avant que Constantin ne parte, il coupe une branche d’amandier en fleurs et lui remet un paquet contenant de l’encens, mais pas n’importe quel encens, de l’oliban en lui demandant de remettre le tout à l’abbé avant la messe en prenant soin que personne ne le voit. Constantin fit très attention, car aucun villageois ne couperait une branche d’amandier en fleur, ce serait un sacrilège. Il ressentit une présence, une ombre se dissimulait. C'était celle d’une jeune fille, elle lui demanda de lui offrir une branche d’amandier, en échange de son silence.

Le lendemain, l’abbé célébra la messe des Rameaux. Les paroissiens découvrirent  avec stupeur, les branches d’amandier qui décoraient l’autel, et cette odeur d’encens qui leur était inconnue, qui a bien pu oser ?

A ce moment de l’histoire, Hyacinthe, la petite aide servante, n’est pas encore apparue !

Ce livre évoque une époque totalement révolue, mais pour ceux qui l’ont un peu connue, une certaine nostalgie. L’auteur y fait de très belles descriptions des paysages, des plantes, des fleurs, de la nature, du vent dans les branches, du chant des oiseaux, les odeurs de la garrigue, de la Provence.

 

- Lettre ouverte aux animaux par Frédéric Lenoir - présenté par F.L.

C’est un livre qui se lit rapidement et qui expose une vision très sensée du problème des animaux. Problèmes de cohabitation que rencontrent nos amis les bêtes avec les grands mammifères et la prolifération de l’espèce humaine. Comment arriver à sauvegarder une vie animale? Soit une solution émerge, soit ils disparaitront et les hommes avec par la même occasion.

Une participante évoque la crise porcine qui sévit en ce moment en Belgique et la réponse drastique folle qui est donnée: tout sanglier qui sera vu entre la bande côtière et le Rhin sera abattu (140 km2)...

- Peau de licorne et autres bestes étranges par la Cité internationale de la tapisserie et de l’art tissé , Aubusson - Dominique Sallanon - présenté par A.A

Elle n’a tellement pas existé qu’elle est partout.... Ce livre est l’occasion de nous livrer l’histoire de la tapisserie d’Aubusson où est créée une version comporaine de la licorne en tapisserie et porcelaine de Limoges qui est présentée ici.

La licorne et sa symbolique

Voici un court texte extrait du site: http://fbecuwe.free.fr/licorne1.htm que je vous livre ici:

La licorne médiévale est un symbole de puissance, qu'exprime essentiellement sa corne, mais aussi de faste et de pureté. D'après une vieille légende de l'Inde, la licorne est douée d'un pouvoir magique. Sa corne sépare les eaux polluées, détecte les poisons et ne peut être touchée impunément que par une vierge (voir page 3). Devenue au Moyen âge symbole de pureté, elle fut adoptée dans l'héraldique, et figure dans de nombreuses armes, celles les plus connues sont celles d'Angleterre. C'est un animal de bon augure. La licorne concourt à la justice royale, en frappant les coupables de sa corne.      

 La licorne symbolise aussi, avec sa corne unique au milieu du front, comme une flèche spirituelle, un rayon solaire ou l'épée de Dieu, la révélation divine, la pénétration du divin dans la créature. Elle combat contre l'éclipse de soleil qu'elle dévore.

 Elle représente dans l'iconographie chrétienne la Vierge fécondée par l'Esprit Saint. Elle est le symbole de la fécondité spirituelle et aussi le symbole de la virginité physique.  Elle était devenue au Moyen âge la représentation de l'incarnation du Verbe de Dieu dans le sein de la Vierge Marie. La licorne devient par extension la figuration du christ, en ce qu'il opère des miracles et se sacrifie pour les hommes.

- L’appel de la forêt de Jack London - par N.G.

Histoire de Buck le chien qui se déroule au XIX siècle au Canada. Un Terre Neuve croisé pure race écossais vit auprès de son maître, le juge Miller, dans un magnifique domaine bourgeois en Californie. Il est enlevé et verra sa vie changer totalement. Il est conduit dans le Grand Nord pour servir d'équipier à un attelage de la poste du Canada puis à des chercheurs d’or. Ce malheureux animal, en fonction des maîtres auxquels il sera vendu, connaîtra un sort différent. Il subira parfois la violence des hommes, sera battu, connaîtra la faim, le froid, l’épuisement. Il rencontrera aussi l'amitié fidèle d’un homme et celle des autres chiens. Il redécouvrira aussi l'instinct de sa race et livré à lui-même, redevenu libre après l’extermination du camp et de son maître par les indiens. Il répondra à l'appel de la forêt.
Un beau récit poignant. On suit le parcours de Buck à travers son regard tout en oubliant que c'est d'un chien qu'il s'agit tant l'auteur sait nous faire vivre ses émotions, ses angoisses.

 

- Les enfants de la terre de Jean M. Auel - par N.R

Cette histoire de petite fille adoptée par un clan de Néanderthals se déroule sur six tomes dont Le clan de l’ours des cavernes est le premier volume. 

Il y a 35 000 ans, une longue période glaciaire s’achève et la Terre commence à se réchauffer. 
Lentement, durant des millénaires, l’homme a évolué. Il connait l’outil, le feu, le vêtement. Il fabrique des armes pour chasser, aménage des grottes pour s’abriter. Dans le chaos de la nature, il est parvenu à créer un peu d’harmonie. 
En ces premiers temps du monde, Ayla, une fillette de cinq ans homo-sapiens, échappe à un tremblement de terre et se sort des griffes d’un lion pour se réfugier auprès d’un clan de néanderthals. Elle est adoptée par la guérisseuse et très vite, ses gestes suscitent l’inquiétude car elle emploie de nouvelles techniques. Ses tribulations l’emporteront en Asie pour la ramener ensuite vers la Gascogne où elle retrouvera un clan d’homo-sapiens.

 Le lien avec la terre, le parcours des saisons, la vie de nomades, l’instinct féministe de cette petite fille, tout est mis en valeur et décrit avec tact et subtilité.

Travail minutieux de l’auteure qui nous livre par le biais de cette saga une description très détaillée de cette époque préhistorique. Les personnages sont très travaillés. Magnifique !

- L’habitude des bêtes de Lise Tremblay - par J.I

Ce livre a déjà été chroniqué ici. Néanmoins, il parait judicieux de vous livrer les différentes suppositions/convictions de chacun et chacune à propos de cet ouvrage.  

Les animaux exacerbent le caractère de l’homme et le chien donné par un indien va, à tout jamais, changé la vie de notre héros. Dans un style simple, l’auteur nous livre une histoire prodigieuse, celle d’un immense amour qui explose implicitement dans tout le texte sans vraiment de mots. Il n’y a pas de pathos mais plutôt des petites touches d’humanité qui ne laissent personne indifférent…

Un autre point de vue intéressant : le père vit en second plan, la maladie de sa fille qui veut qu’on lui coupe tout ce qui dépasse. Dans sa vie, il fait de même et se sépare sans hésiter de sa vie d’avant, son ancien lieu de vie, de ses amis. F.L. nous laisse pantoises:  « si c’est bien de cela qu’il s’agit, l’auteure est encore plus diabolique ! ».

 

- Devenir de Michèle Obama – par N.R.

Une autobiographie qui accroche. Une femme formidable qui nous renvoie à une autre image de femme de président, Mme Danielle Mitterrand…

 

- Moby Dick D'Herman MELVILLE  (1819 - 1891) poète essayiste romancier par B.R.

L'auteur a mis 18 mois à écrire d'un trait Moby Dick. Il en est sorti épuisé mais à sa parution, ce fut un échec à son grand dépit. Herman Melville a quitté l'école très jeune, à 13 ans et a fait divers petits boulots avant de s'embarquer comme marin, successivement sur un bâteau puis sur un baleinier et finalement mettre sur le papier toutes ses aventures maritimes. 

Moby Dick aurait pu s'appeler aussi" l'appel de la mer", avec ses mystères, ses monstres marins, dont le plus gros animal de la création: la baleine

Le roman s'ouvre sur un homme prénommé Ismaël, fasciné par la mer et particulièrement par les baleines. Une amitié indéfectible et improbable va naitre entre lui et un cannibale qui est un vrai colosse et un harponneur aguerri. Ils vont embarquer tous deux sur un baleinier "le Pequod" dont le capitaine est le fameux "Achab" à la jambe non de bois mais d'ivoire.

Ce capitaine n'a qu'une idée fixe, éradiquer de la surface de la terre la baleine coupable de son handicap - une baleine blanche dénommée Moby Dick . Cet homme rongé par la haine n'a cure de son équipage. C'est l'occasion pour l'auteur de décrire par le menu le physique et les traits de chaque homme d'équipage, qui tous ensemble font penser à une véritable "Tour de Babel".  Il ne s'arrête pas à ces portraits parfois caricaturaux et humoristiques car au fil du roman, on croise de nombreuses références bibliques, un descriptif des baleines très scientifique  - rien n'échappe à son œil sagace–  la vie – les mœurs – les habitudes des cétacés. Il y  ajoute de nombreuses paraboles, le tout entrelardé de poésie... Cela pourrait ressembler à un fourre tout, mais en fait tout est ordonnancé autour de Moby Dick. Melville nous fait part de réflexions philosophiques concernant divers sujets, sa culture littéraire est énorme à l'instar de Moby Dick qu'ACHAB et nous mêmes ne rencontreront qu'en fin du roman à la page 670 sur 730. Pourtant, son nom est prononcé par ACHAB tout au long du roman et à chaque rencontre avec d'autres navires ou baleiniers dont il croise les routes . Ne serait-ce pas le combat du Bien Contre le Mal en définitive ?

Avant la rencontre ultime, de nombreux carnages de baleines sont décrits dans le roman – (âmes sensibles s'abstenir )– le sang coule à flot ...L'agonie des baleines s'éternise, un aspect dérangeant qui m'a fait survoler certaines pages. Et qui n'est pas sans rappeler l'actuel massacre de ces animaux marins.

Le style de Melville peut paraître parfois grandiloquent , voire lyrique, mais teinté aussi de légèreté et d'humour.  Ayant été redécouvert, certains estiment qu'il est un précurseur et annonce le 20ième siècle.

En 1956, John HUSTON a tiré un film de ce roman.

 

- Le lion de Joseph Kessel (1898 - 1979) - par B.R.

Joseph Kessel a eu une vie foisonnante - engagé dans l'aviation durant la première guerre mondiale - il a participé à la guerre d'Espagne en 1936 - a rejoint les rangs de " la France Libre" . En mai 1943, il compose avec Maurice Druon, son neveu , les paroles du "Chant des Partisans", voué à devenir le chant de ralliement de la Résistance. Ce fut un grand journaliste, un voyageur impénitent qui a décrit le monde dans ses régions les plus reculées et parfois encore inconnues. De ses pérégrinations variées, il ramènera de nombreux documentaires et des livres inspirés de ce qu'il a vu et vécu. Il a également été élu à l'Académie Francaise.

Au sujet du roman "Le lion", Joseph Kessel lui même déclare en préambule qu'il "est un hommage rendu à l'œuvre accomplie par les Parcs Nationaux du Kenya qui sauvegardent la vie sauvage en Afrique Orientale pour les générations futures".

Dans ce livre, il y a aussi un foisonnement de rencontres - moments particulièrement bien décrits et ressentis par l'auteur. C'est tout d'abord la rencontre avec un petit singe, puis celle d'une antilope, alors que Joseph Kessel vient de se réveiller dans sa case .Il est ainsi subjugué par l'innocence de ces animaux. Plus tard, il va être impressionné par un spectacle unique - la réunion de centaines d'animaux qui paissent ou boivent tranquillement côte à côte dans la savane, c'est un spectacle de début du monde, une sorte de tapisserie... Dans cet endroit paradisiaque, il va rencontrer une enfant qui ajoute encore une touche de magie à son enchantement. Il apparait que cette fillette d'une dizaine d'années, Patricia, a un caractère bien trempé et elle le surprend par sa maturité et sa complicité avec toutes sortes d'animaux, avec les autochtones et la nature en général... C'est aussi la rencontre avec le Directeur du Parc, qui est le père de cette surprenante enfant... Lui aussi suscite la curiosité car il s'agit d'un ancien chasseur d'animaux repenti qui met tout en oeuvre pour assurer la protection des animaux du Parc contre toute agression de quelque nature qu'elle soit. Il donne une image saisissante, selon ses dires, il pourrait choisir l'animal s'il devait faire un choix entre un animal et un agresseur humain.  Nous assistons également à la rencontre avec la mère de la fillette - si Patricia est particulièrement à l'aise dans le Parc, il n'en est pas de même pour sa mère  littéralement terrorisée de vivre dans ce parc. Elle éprouve une angoisse si grande qu'elle songe à envoyer sa fille en Europe pour la mettre à l'abri

La rencontre la plus fabuleuse est celle avec un lion - elle a lieu sous le couvert de l'enfant - et il est indéniable que ce lion adulte obéit au doigt et à l'œil de Patricia - ce passage est raconté avec justesse et émotion. Ce lion a été recueilli juste après sa naissance par le directeur du Parc, sa mère ayant été abattue et il a grandi parmi les humains. Un lien très fort s'est tissé entre le lion devenu adulte et l'enfant.

L'auteur dans les dernières pages pressent qu'un dénouement va avoir lieu, heureux ou malheureux ? À vous de le découvrir - mais là encore l'émotion est au rendez vous car tout bascule....

Il faut souligner que ce roman a été écrit à l’époque colonialiste. Les mots employés pour affirmer l’infériorité des personnes de couleur sont durs. À travers ces descriptions, on apprend à quel point les différences raciales sont présentes. La vie d’un homme noir est même moins importante que celle d’un lion....

 

- Dialogues de bêtes de Colette - par PL

Cet ouvrage est une illustration, une satyre de la vie bourgeoise au travers du regard de deux animaux: Toby-le-chien et Kiki-la-doucette. Toby et son inépuisable amour pour Elle. Kiki et sa légendaire indépendance et sa préférence pour Lui. Car ce sont bien des propriétaires de ces animaux dont il est question ici, Lui et Elle. Pas de nom, de prénom. 

Un petit délice à croquer ! La plume de Colette offerte à nos amis à quatre pattes ne pouvait donner qu'un récit charmant et croustillant. Les dialogues mettent en exergue le comportement des animaux. 



RELATED POSTS


Commentaires/ 4

  • Portrait de Un de l'Escouissier
    Un de l'Escouissier (non vérifié)
    mar 13, 2019, 16:16-répondre

    A propos donc de la rencontre du 16/3 : Moi que je suis un trailer des montagnes avec des oreilles et des yeux en gyrophare, j’ai su que le flou sur le titre de cette rencontre de st Auban a été très dissuasif auprès d’éventuels participants. Le pire a été l’affiche de la bibliothèque qui mentionnait en tout et pour tout « Les Grands animaux ». Un passant à côté de moi a dit : « m’intéresse pas ! » Sans appel ! Je suppose que maniaque comme elle est (selon Pierre !) FL avait bien réfléchi à son titre. C’était « Les Grands animaux et l’Homme : amour et rivalité », avé ET les articles ET les majuscules ET le pluriel ET le singulier! et pas n’importe quoi n’importe comment … Formulé comme ça, c’était à mon avis, plus « vendeur ». J’ai su aussi –car on ne me cache rien !- que le clou de la réunion a été la présentation par A.A. d’un très beau livre accordéon sur la tapisserie d’Aubusson. Déplié, il faisait le tour de la table de la salle du conseil municipal, c’est dire ! dommage qu’on n’en parle pas dans le comte-rendu.

  • Portrait de Un de l'Escouissier
    Un de l'Escouissier (non vérifié)
    mar 13, 2019, 16:16-répondre

    A propos donc de la rencontre de st Auban du 16/3 : Je n’avais pu être présent mais on ne me cache rien à moi, et j’ai des oreilles et des yeux en gyrophare ! Hélas, j’ai appris que le flou sur le titre a été très dissuasif. Le pire a été l’affiche de la bibliothèque qui mentionnait en tout et pour tout « Les Grands animaux ». Un passant à côté de moi a dit : « M’intéresse pas ! » Sans appel ! Je suppose que maniaque comme elle est (selon Pierre ! moi j’ai rien dit !) FL avait bien réfléchi à son titre : « Les Grands animaux et l’Homme : amour et rivalité », avé ET les articles ET les majuscules ET le pluriel ET le singulier! et pas n’importe quoi n’importe comment … Formulé comme ça, à mon avis, c’était bien plus vendeur. On m’a dit aussi qu’incontestablement le top de la réunion a été quand A.A. a ouvert un précieux livre en accordéon sur la tapisserie d’Aubusson et la dame à la licorne. Déplié, il faisait le tour de la table de la salle du conseil municipal, c’est dire ! dommage qu’on n’en parle pas dans le comte-rendu.

  • Portrait de Amélie
    Amélie (non vérifié)
    mar 13, 2019, 16:16-répondre

    Bonjour. Merci pour le compte- rendu qui a été mis en ligne bien vite mais je le trouve un peu touffu. Pourquoi ne pas mettre dans une rubrique à part - en note de lecture ?- les longs développements de l’histoire racontée par chaque livre ? Ca nourrirait un peu le blog qui a un peu trop tendance à faire du remplissage avec des affiches d’évènements : du coup, on doit aller chercher les vrais articles en 2è et 3è page ! et puis, désolée de faire la puriste, mais il y a trop de fautes…

  • Portrait de pascale
    pascale
    mar 13, 2019, 16:16-répondre

    Chère Amélie, au vu de toutes vos idées à propos de ce texte, il me semble que le mieux serait que vous assistiez au club de lecture et que vous nous en fassiez un compte-rendu. J'accueillerai avec enthousiasme toute personne qui souhaite abonder et faire vivre le blog. Les informations sur les événements qui sont insérées dans celui-ci ne sont pas là pour faire du remplissage comme vous le dites mais pour vous tenir informé.e.s.


LEAVE A COMMENT